Archives de la catégorie: Actualité

Actualité Agenda

Les ateliers féministes du dimanche : « Comment résister à la charge mentale familiale et ménagère ? » 24.11.2019

Coincée entre l’image du parent parfait, de la travailleuse flexible et de la ménagère digne d’une guide de conseil des années 50, nombreuses d’entre nous se sentent étouffer entre les lessives, l’agenda des médecins et la survie financière de la famille. Que l’on soit mère célibataire, enfant de parents dépendants, dans un couple hétéro ou homo, la répartition inégalitaire des tâche est monnaie plus que courante. En 2019, 75 % des familles belges fonctionnent encore avec un partage inégal des tâches et 80 % de celles-ci sont effectuées par les femmes… L’atelier organisé par AFICo vous propose de découvrir les origines du problème et quelles sont les recettes à adapter à chaque cellule familiale mais aussi les combats sociétaux à mener pour que toutes et tous nous ayons autant de loisirs, de libertés que de tâches ! Atelier ouverts aux femmes et aux hommes.
Pour mieux comprendre :https://emmaclit.com/2017/05/09/repartition-des-taches-hommes-femmes/

https://www.afico.be/component/dpcalendar/event/63?calid=15

 

 

Actualité Droit des femmes

CFFB : université d’automne ce samedi à Namur

Le Conseil des Femmes Francophones de Belgique organise sa première Université d’automne ce samedi 21 septembre.

Programme de la journée

PREMIÈRE PARTIE.

9:00 – 9:30
Accueil et introduction
Sylvie Lausberg, présidente du CFFB
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9:30 – 10:00
Les droits des femmes et les niveaux de pouvoir en Belgique
Entre éclatement des compétences et dissolution de la responsabilité politique, par Anne-Emmanuelle Bourgaux, avocate et professeure de droit public
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10:00 – 11:30
Présentation des associations-membres du CFFB
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11:30 – 12:30
Rencontre avec les sections locales et les commissions de travail
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Lunch
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❗ L’après-midi est réservé aux associations-membres et membres individuelles ❗

DEUXIÈME PARTIE.

13:30 – 16:30
Le CFFB aujourd’hui et demain
Introduction par Isabelle Kempeneers, Vice-présidente du CFFB
Ateliers participatifs
13:30 – 14:30 Atelier sur la structure et le fonctionnement du CFFB
14:30 – 15:30 Atelier sur les dossiers prioritaires du féminisme
15:30 – 16:30 Atelier sur les nouveaux enjeux du féminisme
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16:30
Verre de l’amitié

N.B.: La première partie est ouverte à tout public tandis que la deuxième est réservée aux associations et membres affiliées.

Inscription avant le 19 septembre 2019. L’évènement est entièrement gratuit.

 

Actualité IVG

Enjeux politiques de l’IVG en Belgique :

Loi relative à l’interruption volontaire de grossesse du 15 octobre 2018.
Un an après son adoption, quels sont les enjeux politiques relatifs à l’IVG en Belgique?


Programme:
Accueil et introduction
Henri Bartholomeeusen, président du Centre d’Action Laïque
Historique de l’adoption de la loi du 15 octobre 2018
Sylvie Lausberg, directrice du service Étude et stratégie du Centre d’Action Laïque
Enjeux juridiques liés à l’application de la loi du 15 octobre 2018 et recours à la Cour constitutionnelle
Patricia Minsier, avocate au barreau de Bruxelles
Entre volontarisme politique et difficultés d’accès à l’IVG, l’exemple français
Véronique Séhier, présidente du Planning familial français

Table ronde: quelle stratégie politique pour garantir et améliorer la loi belge?
En pratique:
Le mardi 15 octobre 2019, de 9h à 12h30, suivi d’un drink et de sandwiches
Au Centre d’Action Laïque (salle Willy Peers) – Campus de la Plaine ULB (accès 2) à 1050 Bruxelles
Entrée gratuite mais inscription obligatoire
Infos et inscriptions: cal@laicite.net

 

Actualité Stéréotypes

Laïcité : « Le sport, lieu d’apprentissage d’une règle unique »

Soutenue par un collectif de personnalités et d’associations, Annie Sugier, présidente de la Ligue du droit international des femmes, appelle, dans une tribune au « Monde », le Comité d’organisation des JO de Paris 2024 à appliquer strictement la lettre de la Charte olympique.

Publié le 13 août 2019 à 10h24 – Mis à jour le 13 août 2019 à 10h26 Temps de Lecture 4 min.

Match Egypte-Italie au tournoi féminin de beach-volley des Jeux olympiques de Rio, en 2016.

Match Egypte-Italie au tournoi féminin de beach-volley des Jeux olympiques de Rio, en 2016. YASUYOSHI CHIBA / AFP

Tribune. L’interférence du religieux dans le sport est incontestablement un sujet d’actualité qui embarrasse tout autant les pouvoirs publics que les dirigeants sportifs. Un exemple révélateur : les actions de « désobéissance civile » dans une piscine de Grenoble, menées par une quinzaine de femmes en burkini revendiquant le droit de se baigner avec un maillot de bain couvrant, interdit par le règlement intérieur.

Réagissant à la situation, Eric Piolle, le maire écologiste de Grenoble, en appelle au président de la République pour trancher : « Est-ce que le gouvernement veut ou pas que la piscine devienne, comme l’école, un sanctuaire qui soit protégé du religieux, et donc avoir un regard qui est contraire, aujourd’hui en tout cas, aux regards de l’Observatoire de la laïcité et du Défenseur des droits ? »

Allant dans le même sens, les rapporteurs de la mission parlementaire sur les services publics face à la radicalisation mentionnent une proposition consistant à s’inspirer de la loi sur les signes religieux à l’école : « Il peut y avoir là une piste de réflexion, même si les possibilités de réglementer, dans des structures sportives de droit privé, des comportements religieux (même ostensibles) paraissent limitées. »

Lire aussi Des femmes en burkini manifestent dans une piscine de Grenoble

Les termes du débat sont ainsi posés : d’un côté, une vision étroite de la laïcité, de l’autre, la promotion d’une vision éducative du sport.

Réaffirmant les limites de la laïcité, des guides sont élaborés afin d’aider les personnels d’encadrement à gérer ce type de conflits. L’Union française des œuvres laïques d’éducation physique (Ufolep, première fédération sportive multisports affinitaire de France) publie « Le C.O.D.E. du sport et laïcité », puis c’est au tour du ministère des sports, avec le guide « Laïcité et fait religieux dans le champ du sport ».

L’impuissance domine

Dès l’introduction, le ministère précise : « L’ambition de ce guide est de démontrer qu’expression du fait religieux et laïcité ne sont pas, en soi, incompatibles dans le champ du sport. » L’Ufolep se montre encore plus précise en citant les propos de Pierre Tournemire, vice-président de la Ligue de l’enseignement : « Notre société est durablement multiculturelle. Les revendications identitaires ou les pratiques religieuses doivent pouvoir légitiment s’exprimer sur la place publique sans contrainte ni suspicion, aux seules conditions précisées pour l’espace public. »

Ces guides proposent un message simple : la laïcité ne s’applique qu’aux professionnels relevant du statut d’agents publics. S’agissant des pratiquants, l’on se doit de respecter leur liberté de manifester leurs convictions, à condition que cela ne porte pas atteinte à l’ordre public. Les auteurs s’empressent d’ajouter que la notion d’ordre public est à manier avec précaution, car elle risque de cacher une potentielle discrimination pour un motif religieux, se gardant bien d’admettre que le motif religieux masque une discrimination sexiste !

Article réservé à nos abonnés Lire aussi « Sur la laïcité, évitons les disputes inutiles »

En résumé, faute de réflexion politique sur la fonction sociétale du sport, c’est l’impuissance qui domine. Doit-on en rester là ?

Nicolas Cadène, rapporteur général de l’Observatoire de la laïcité, dans une intervention annexée au guide du ministère des sports, réaffirme les limites de la laïcité, mais propose une voie intéressante : « Ici, en réalité, ce n’est d’ailleurs pas une question de laïcité. Cette absence de tout prosélytisme découle des valeurs du sport, rappelées notamment dans la règle 50 de la Charte olympique et dans la loi 4 de la FIFA concernant le football. »

Sanctionner les contrevenants

Il rejoint ainsi la vision promue par l’association belge Panathlon Wallonie-Bruxelles, bras armé du mouvement olympique belge pour l’éthique sportive. Sous l’impulsion de son président, Philippe Housiaux, trois colloques ont été organisés avec des représentants du sport, des religions et de la laïcité, qui ont débouché sur la déclaration « Le Sport, l’esprit de l’humanité », dont l’élément principal est le suivant : « Il/elle accepte, dès qu’il/elle franchit les portes ou entre dans l’espace “sport”, sans aucune exception, pendant l’exercice de sa pratique, à faire siennes et se conformer aux règles du sport, au sens le plus large, sans mettre en exergue ses convictions philosophiques, de façon ostentatoire et intolérante, de quelque manière que ce soit. »

Avec cette même préoccupation à l’esprit, la Ligue du droit international des femmes, soutenue par plus de 100 associations et plus de 360 personnalités, a adressé une lettre ouverte au Comité d’organisation des Jeux de Paris 2024, exigeant l’application de la Charte olympique et des sanctions à l’encontre des contrevenants. Parmi ceux-ci, l’Iran et l’Arabie saoudite, qui soumettent la participation de leurs athlètes féminines à des exigences reflétant un strict apartheid sexuel (participation aux seules disciplines jugées « coraniques », corps couvert de la tête aux pieds et épreuves non mixtes). Parce que les Jeux sont la vitrine de nos sociétés, Paris se doit d’être exemplaire. Rappelons que plus de 50 métropoles dans le monde avaient soutenu notre candidature au motif que « Paris dispose des atouts et de la volonté nécessaires pour donner un nouveau souffle aux valeurs olympiques ». Ainsi, le sport restera le lieu d’apprentissage du respect de la règle unique.

Annie Sugier est présidente de la Ligue du droit international des femmes. Elle a écrit, avec Linda Weil-Curiel et Gérard Biard, Comment l’islamisme a perverti l’olympisme (Chryséis, 2018).

Cosignataires : Michèle André, secrétaire d’Etat chargée des droits des femmes et de l’égalité des chances entre les hommes et les femmes (1988-1991) ; Djemila Benhabib, écrivaine franco-algérienne, femme politique ; Marie-George Buffet, députée de la Seine-Saint-Denis, ex-ministre des sports ; Chahla Chafiq, écrivaine et sociologue iranienne ; Nadia El Fani, réalisatrice, scénariste et productrice franco-tunisienne ; Zineb El Rhazoui, journaliste, militante féministe ; Jacqueline Eustache-Brinio, sénatrice du Val-d’Oise ; William Gasparini, sociologue du sport, université de Strasbourg ; Benoit Hubert, secrétaire général du Syndicat national de l’éducation physique, FSU ; Julia Kristeva, linguiste, psychanalyste et écrivaine ; Françoise Laborde, sénatrice de la Haute-Garonne, vice-présidente de la délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes ; Corinne Lepage, ex-ministre de l’environnement ; Catherine Louveau, sociologue, professeure émérite, université Paris-Sud ; Laurence Marchand-Taillade, présidente de Forces laïques; Yvette Roudy, ex-ministre pour les droits des femmes ; Georges Vigarello, historien du sport et du corps, directeur d’études à l’EHESS.

https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/08/13/laicite-le-sport-lieu-d-apprentissage-d-une-regle-unique_5499000_3232.html

 

Actualité Communiqué officiel Harcèlement Violences faites aux femmes

Les discriminations de genre à nouveau en hausse en 2018 – IEFH

 

Les discriminations de genre à nouveau en hausse en 2018

27 février 2019, Bruxelles – Deux fois plus de signalements en cinq ans, une augmentation marquante en 2017 qui se poursuit en 2018. L’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes reçoit chaque année plus de signalements pour dénoncer des discriminations fondées sur le genre. Qu’elles soient à l’égard des femmes, des hommes ou des personnes transgenres, les discriminations de genre restent un problème majeur. À l’approche de la journée internationale des femmes, l’Institut diffuse ces chiffres 2018.

« Fonder une famille tout en travaillant, recevoir le même salaire que son collègue, être embauché·e pour ses compétences, faire le sport de son choix, être traité·e avec respect… Cela sonne comme une évidence, pourtant, nous sommes encore loin d’une société où chacune et chacun vit librement quel que soit son genre. Mais, le sexisme, les stéréotypes de genre, les discriminations en raison d’être une femme, un homme, ni l’un ni l’autre ou les deux, sont de moins en moins tolérées. » observe Michel Pasteel, directeur de l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes.

11% de signalements en plus par rapport à 2017

Chaque année, le nombre de signalements pour discrimination adressés à l’Institut augmente. En 2018, l’Institut a reçu 818 signalements, dont 355 demandes d’informations, 258 plaintes et 205 communications. En cinq ans, le nombre de signalements a plus que doublé, avec une hausse importante en 2017 qui se poursuit en 2018 (+11%). Les discriminations les plus rapportées sont la discrimination directe, celle en raison du sexe et celle en raison de la maternité. Les femmes en sont les principales victimes. La moitié des signalements sont émis par des femmes, près de 30% par des hommes.

L’emploi reste le domaine où les discriminations sont les plus fréquentes, il représente 45% des signalements. Dans ce domaine, près de neuf signalements sur dix portent sur une discrimination directe. Les femmes sont discriminées à chaque étape de la relation de travail (recrutement, conditions d’emploi, licenciement), et particulièrement en raison de la grossesse et de la maternité, même futures. 90% des signalements pour discrimination sur base de la grossesse ou de la maternité sont liés au travail.
Les signalements pour incitation à la discrimination ont triplé par rapport à 2017. Ils dénoncent essentiellement des propos haineux et sexistes prononcés en rue, sur internet ou dans les médias. Un signalement sur cinq dénonce un cas de sexisme.
Les signalements liés à la thématique transgenre ont fortement augmenté en 2018, +63% par rapport à 2017. Cette hausse s’explique, en partie par l’entrée en vigueur de la loi sur la modification de l’enregistrement de sexe et les problèmes administratifs qui ont suivi. De nombreuses personnes ont également contacté l’Institut au sujet de la nouvelle loi (76%). Les deux autres domaines les plus importants liés à la discrimination des personnes transgenres sont l’emploi (28%) et les biens et services (28%). Conclure une assurance reste encore souvent problématique pour les personnes transgenres, cela représente près de 30% des signalements dans les biens et services.

« L’égalité des sexes est un droit fondamental, mais aussi un fondement nécessaire à la construction d’une société durable. Comme en attestent les signalements, nous n’y sommes pas. Chaque année, l’Institut est amené à traiter davantage de dossiers. Les défis à relever sont de taille et doivent retenir l’attention du prochain gouvernement. »souligne Michel Pasteel, directeur de l’Institut.

Pourquoi contacter l’Institut ?
L’Institut reçoit et enregistre des plaintes pour discrimination fondée sur le sexe ou le genre et peut informer toute personne qui le souhaite à propos du cadre légal en la matière, via le 0800/12 800 ou via le formulaire de contact sur le site igvm-iefh.belgium.be. L’Institut peut en outre conseiller les victimes, entamer une médiation en leur nom et même aller en justice.

NB : la factsheet reprenant les chiffres principaux est disponible sur le site de l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes : www.igvm-iefh.belgium.be

 

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Signons la pétition ! Demandons la création d’un Ministère des Droits des Femmes !

Synergie Wallonie pour l’égalité entre les Femmes et les Hommes se mobilise encore et toujours dans la lutte contre les inégalités entre les sexes en Belgique et se joint à AlterEgales pour réclamer la création d’un Ministère des Droits des Femmes.  Nous avons besoin de votre soutien !  Rejoignez-nous !

 

En 2018, en Belgique, l’égalité des femmes et des hommes n’est toujours pas acquise ! Dans tous les domaines (social, économique, politique, culturel, etc.), les femmes subissent toujours des inégalités criantes. Les droits qu’elles ont conquis restent fragiles, menacés, voire inappliqués.

Devant l’ampleur des inégalités hommes-femmes et le fait qu’elles soient souvent cumulées avec d’autres discriminations, il est primordial de reconnaître une spécificité à la lutte contre le sexisme.

Un Ministère des Droits des femmes à tous les niveaux de pouvoir est donc nécessaire pour corriger ces inégalités structurelles qui jalonnent la vie des femmes depuis la petite enfance jusqu’à l’âge de la pension et au-delà.

Un Ministère des Droits des femmes à tous les niveaux de pouvoir, c’est également un signal fort donné à la société. Pour que demain, l’égalité des femmes et des hommes ne soit pas un vain mot, mais une réalité. Pour que demain, l’égalité des femmes et des hommes soit structurellement intégrée dans notre société !

Pour signer la pétition, utilisez le lien ci-dessous:

https://secure.avaaz.org/en/community_petitions/Tous_les_niveaux_de_pouvoir_en_Belgique_Pour_un_Ministere_des_Droits_des_femmes_a_tous_les_niveaux_de_pouvoir_en_Belgiqu/details/

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PARIS 2024 – REVENIR A L’ESPRIT OLYMPIQUE

 

 

Synergie Wallonie pour l’égalité entre les Femmes et les Hommes, membre actif du collectif du premier cercle pour l’interpellation du COJO Paris 2024, vous sollicite dans sa démarche de solidarité envers les iraniennes et saoudiennes dans la lutte contre L’APARTHEID SEXUEL !

 

L’un de nos combats essentiels aujourd’hui est la défense de la notion même d’universalité qui est de plus en plus souvent contestée.

 

Les actions de préparation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 constituent une occasion unique de promouvoir les « valeurs universelles fondamentales » telles qu’inscrites dans la Charte Olympique, incluant une forme exigeante de laïcité (la règle 50).

 

Il n’est pas trop tôt pour y penser car c’est maintenant que le Ministère de l’Education Nationale -en liaison avec les Organisateurs des Jeux – lancent des programmes visant la « GENERATION 2024 » dans les collèges et les Lycées.

 

Dans cette perspective,

  • Seriez-vous d’accord pour signer la lettre ci-jointe d’INTERPELLATION du Comité d’Organisation des Jeux de Paris 2024 (ci-jointe également la liste des premières signatures) ?
  • Comment vous souhaitez être présenté.e dans la liste de signataires ?

 

L’objectif est d’obtenir « 2.024 signatures pour un Paris 2024 respectueux de la Charte Olympique ».

 

La BROCHURE jointe explicite nos arguments et énumère les associations en soutien. Dites-nous si vous souhaitez que votre association apparaisse.

https://magicpapys.info/wp-content/Fichiers/PARIS 2024 Brochure.pdf

https://magicpapys.info/wp-content/Fichiers/PARIS 2024 Soutiens.pdf

https://magicpapys.info/wp-content/Fichiers/PARIS 2024 Interpellation.pdf

Ecrivez-nous à l’adresse suivante : appliquerlacharteolympique@gmail.com

 

Actualité Agenda

Les femmes et la politique : représenter autrement et efficacement !

Le VENDREDI 26 OCTOBRE A NAMUR … SAVE THE DATE !

 

 

Dans le cadre de l’Assemblée des femmes et des associations 2018, Synergie Wallonie pour l’égalité entre les femmes et les hommes vous invite à venir réfléchir, débattre et décider sur la thématique :

« Femmes et politique : représenter autrement et efficacement !  oui, mais comment ?»

Le colloque sera organisé sur base de trois panels de discussion.

Chacun de ces trois panels sera encadré par un.e sociologue/historien.ne universitaire  (ou autre qualification) chargé.e, après avoir introduit le cadre général,  de discuter des interventions,  de les remettre en perspective grâce à son expertise et de synthétiser les débats et discussions avant le débat avec la salle.

La journée sera animée par un.e journaliste qui assurera la continuité des travaux.

 

Où ?  au Cap Nord, 8 boulevard du Nord à Namur

Quand ? le vendredi 26 octobre de 8h30 à 18h

Accès gratuit,  inscription obligatoire.

Inscrivez-vous dès aujourd’hui :

https://www.eventbrite.fr/e/billets-femmes-et-politique-representer-autrement-oui-mais-comment-48443303224

Programme

08h30 : Accueil petit-déjeuner

09h00-10h00 : Mot d’accueil et introduction générale

10h00-11h15 : Panel n°1 :

« Femmes et Politique : du droit de vote à une représentation politique égalitaire qualitative des femmes : historique légal, factuel et ressenti »

11h20-12h35 : Panel n°2 :

« Femmes et politique : Evolution des mandats et portefeuilles au niveau local »

12h35-13h30 : Repas sur place

13h30-17h00 : Panel n°3 :

« Femmes et politique : Représenter autrement et efficacement ! oui, mais comment ?»

17h00 : Conclusions et clôture

 Au plaisir de vous rencontrer ce 26 octobre 2018 !

 

Actualité Agenda

Appel à candidatures : « Prix Anne-Marie Lizin-Théroigne de Méricourt »

Vous connaissez une femme ou une association dont l’engagement professionnel ou personnel en faveur des droits des femmes vous vous inspire ?

Vous aimeriez mettre en valeur ses engagements et son travail ?

Alors, n’hésitez pas à soumettre sa candidature au Prix Anne-Marie Lizin – Théroigne de Méricourt.

 

Votre candidate sera soit une femme, soit une association, vivant ou étant active en Wallonie.

Son engagement personnel ou professionnel répondra à un ou plusieurs des critères suivants :

–                      Elle lutte pour faire triompher le droit des femmes et l’égalité des genres ;

–                      Elle mène des actions en faveur de l’autonomie d’autres femmes ;

–                      Elle participe à la création d’emplois (et notamment pour d’autres femmes) ;

–                      Elle est engagée dans la lutte pour une meilleure conciliation vie privée, vie professionnelle ;

–                      Elle est connue et reconnue pour son engagement à promouvoir le travail des femmes dans un domaine traditionnellement très masculin ;

–                      Elle participe à des actions de recherche et/ou de mobilisation permettant l’amélioration de l’égalité Femmes/Hommes, tout domaine confondu (droits, santé, travail, …) ;

 

Pour que la candidature soit valide, veuillez compléter et renvoyer le dossier de candidature ci-joint par courrier ou par mail au plus tard pour le 16 novembre 2018.

https://magicpapys.info/wp-content/Fichiers/PrixAML2018.doc

Ce prix est organisé par Synergie Wallonie pour l’Egalité entre les Femmes et les Hommes avec la collaboration de la Fondation Anne-Marie Lizin.

Merci de votre participation à la reconnaissance des talents engagés dans l’action en faveur des femmes.

Actualité Violences faites aux femmes

« La prostitution tue. Il est temps de comprendre pourquoi ».

Un texte initié par Isala asbl et co-signé, entre autre, par Synergie Wallonie

http://plus.lesoir.be/162606/article/2018-06-14/la-prostitution-tue-il-est-temps-de-comprendre-pourquoi

PLUS.LESOIR.BE
Plusieurs collectifs et associations s’inquiètent des nombreuses agressions, parfois mortelles, dont sont victimes les prostituées en Belgique. Elles réclament l’abolition d’un système qui permet le continuum des violences masculines, ainsi que la mise en place d’une politique ambitieuse…