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RIGHT(S) NOW ! MARCHE POUR LE CLIMAT ET LA JUSTICE SOCIALE POUR TOU.TE.S

Le 12 mai, c’est le Jour J avant les élections. Bloquez la date dans votre agenda pour participer à la marée humaine qui déferlera sur Bruxelles. Le 12 mai, nous rassemblons tout ! Nos luttes pour le climat, contre la racisme, pour la justice sociale … Toutes et tous uni.e.s pour une société inclusive, durable et solidaire. Parce que tout est connecté : pas de politique climatique sans justice sociale, pas de lutte contre les inégalités sans un œil sur la planète. Unissons nos forces par dizaines de milliers dans la rue pour faire respecter nos droits fondamentaux.

Un environnement sain, un travail digne, l’égalité des droits pour tou.te.s, une politique migratoire humaine : c’est à ça que les prochaines élections doivent aboutir !

Parce que ces droits fondamentaux sont inscrits dans notre Constitution, à l’article 23 : « Chacun.e a le droit de mener une vie conforme à la dignité humaine »

Ces droits ont été mis sous pression par les gouvernements précédents et c’est pour cela qu’ils doivent reprendre leur place à l’agenda politique !

Nous crions haut et fort : RIGHT(S) NOW !

Le Conseil des femmes sera présent et vous invite à le rejoindre sous sa bannière à 12h45 devant la Gare du Nord, à droite en descendant les marches.

Pour rendre hommage à Julie Van Espen, une minute de silence sera organisée à la fin de la marche, dans le Parc du Cinquantenaire. Nous nous relèverons après cette minute pour montrer que nous avons, à l’inverse des victimes des féminicides, toujours la chance d’être debout et d’avancer pour résister. Un groupe avancera également dans le cortège en silence avec des sweatshirt blancs sur lesquels sera écrit (en français et en néerlandais) « aujourd’hui encore 1000 femmes sont violées dans notre pays ». Les sweatshirt seront disponibles au rendez-vous thématique féministe.

Vous trouverez ici<https://www.cffb.be/11-femmes-tuees-en-belgique-depuis-le-debut-de-lannee-et-maintenant-on-fait-quoi/> notre communiqué de presse envoyé ce jour par le Conseil.

Merci de communiquer votre nom à info@cffb.be<mailto:info@cffb.be> si vous comptez nous rejoindre, pour que nous ayons une idée de la mobilisation du Conseil.

 

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28 MAI 2019 – Journée mondiale d’action pour la santé des femmes – Namur

Dans le cadre de la journée mondiale d’action pour la santé des femmes, la plateforme Femmes & Santé vous convie à une journée sur la Femme et sa santé, intitulée  » Notre santé, notre pouvoir, échangeons nos expériences et nos savoirs », aux Abattoirs de Bomel, Namur.
Cette journée à destination des femmes et des professionnelles se veut être une journée de partage et d’échange en toute convivialité et bienveillance dans le respect mutuel sur les problématiques touchant la santé des femmes en particulier.
Au programme:
En matinée, Catherine Markstein proposera sa conférence gesticulée : « La place n’était pas vide ».
Cette conférence aborde la surmédicalisation des cycles de vie des femmes et envisage des chemins de libération. Une conférence gesticulée est une conférence qui mélange les savoirs froids (scientifiques) et les savoirs chauds (liés à nos expériences de vie). Il y a un peu plus de mise en scène que dans une conférence traditionnelle.
La conférence est en français. Il n’y a pas de traduction instantanée prévue. Nous pouvons par contre organiser un système de chuchoteuses pour des femmes qui auraient besoin d’un soutien pour la compréhension.
Des ateliers d’échanges sont prévus à la suite de la conférence pour poser des questions sur des éléments de la conférence, témoigner sur des vécus et comprendre ce que signifie une démarche d’auto-santé.
Durant l’après-midi, 8 ateliers entre femmes seront proposés. 
Ces ateliers sont des ateliers participatifs. Cela veut dire qu’il n’y a pas un savoir qui sera directement transmis aux participant-e-s. Ce sont les vécus, les expériences, les questionnements et les ressources du groupe qui seront au cœur des échanges. 
  • Atelier 1 : Vulve, périnée, clitoris, seins : Lara Lalman et Frédou Braun (de l’asbl Corps écrits) propose de (re)découvrir son sexe (la vulve, le périnée, le clitoris) et ses seins de manière créative et ludique.
  • Atelier 2 : Cycles et contraception :cet atelier propose d’observer nos corps : l’apparition des règles, les moments de fertilité, les liens avec notre santé physique et mentale. Hélène Lefèbvre (sage femme) abordera aussi les moyens de contraception non-hormonaux par l’échange et le partage avec les participant-e-s.
  • Atelier 3 : Nos vécus de violences et nos stratégies de renforcement lors de la consultation gynécologique : Nathalie Benoit et Ingrid Daschot (Groupe Santé des Femmes de Vie Féminine Brabant wallon) proposent de parler des vécus de consultations gynécologiques et de la violence vécue dans les soins. L’atelier permettra aussi d’identifier les ressources et ce qu’on peut faire pour mieux préparer et/ou vivre la consultation gynécologique.
  • Atelier 4 : Auto-massage et échanges de remèdes pour prendre soin de sa santé :  cet atelier propose d’échanger autour des petits remèdes que nous utilisons pour prendre soin de notre santé et celle des autres. Des éléments d’auto-massage seront proposés durant la séance par Marie-Françoise (thérapeute psychocorporelle).
  • Atelier 5 : La charge mentale et émotionnelle : qui pense à ce qu’il faut faire à la maison? Comment mieux comprendre et s’en libérer ?!: La charge mentale est tout ce à quoi il faut penser pour que la vie quotidienne se passe : l’organisation de la famille et de la maison, le soin aux autres. Anne-Astrid Burlet (Synergie Wallonie) et Namur’Elles propose de parler ensemble à cette charge qui nous pèse et de réfléchir aux manières de s’en libérer.
  • Atelier 6 : Bien-être et parentalité en exil : quels vécus et quelles ressources lorsqu’on doit prendre soin de ses enfants? : Halimatou Barry et Maud Jeulin (Gams-Belgique) propose un espace pour exprimer les vécus spécifiques des femmes en exil : comment prendre soin de soi et de sa santé quand on doit protéger ses enfants? Comment prendre soin d’eux/elles tout au long de ce parcours?
  • Atelier 7 : projection du film « J’ai mal à ma maternité » suivi d’un débat :  la réalisatrice Marie Betbèze et de Mamans Blues propose un espace d’expression des difficultés maternelles qui touchent de nombreuses femmes à l’arrivée d’un enfant. Cet atelier sera aussi l’occasion de partager autour des ressources et des besoins des femmes qui vivent des difficultés maternelles.
  • Atelier 8 : Un atelier libre au départ des questions des participant-e-s est proposé par Céline Houtain et Maryline Nicolet (CLPS-Brabant wallon)r des questionnements, des vécus, des expériences qui n’auraient pas été spécifiquement proposés dans les autres ateliers.
 
Public-cible : 
Les femmes et les professionnel-le-s.
Conférence gesticulée : public mixte (en termes de genre). 
Ateliers en non-mixité de genre.
Nous soutenons la participation de groupes de femmes. N’hésitez pas à faire des inscriptions groupées (en nous indiquant le nombre de personnes intéressées). 
 
Modalités d’inscription: 
Inscription obligatoire par mail à l’adresse info@femmesetsante.be ou par téléphone 0493/81.85.23.
Lors de l’inscription, veuillez indiquer 3 ateliers auxquels vous désirez participer par ordre de préférence (le nombre de place par atelier sont limités).
PAF professionnel-le : 20€, lunch compris. 
PAF non-professionel-le : libre. 
Paiement sur place ou par virement bancaire via facture (si vous choisissez ce mode de paiement, merci de communiquer l’adresse de facturation au moment de l’inscription)
Inscription au plus tard le 20 mai 2019 afin que nous puissions prévoir le catering.
Vous trouverez ci-dessous le programme final de la journée co-organisée par le réseau wallon Femmes et Santé.
Retrouvez-nous également sur Facebook: https://www.facebook.com/events/2191138210975940/
Merci de diffuser largement ce mail auprès de vos contacts et d’inviter vos ami-e-s sur Facebook : https://www.facebook.com/events/2191138210975940/
Au plaisir de se rencontrer et d’échanger ensemble en cette journée mondiale d’action pour la santé des femmes! 🙂🙂🙂
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Continuons à soutenir PARIS 2024 !

Grâce à votre soutien, notre pétition (https://www.change.org/p/petition-paris-2024-appliquez-la-charte-olympique>a été signée par 1000 personnes !

Il faut poursuivre notre effort pour atteindre notre objectif 2024 signatures. Nous devons faire entendre notre voix aux dirigeants sportifs qui ne respectent pas leur propres règles : cf ci-dessous notre communiqué sur l’organisation du DAKAR en Arabie Saoudite !

Nous savons que nous pouvons compter sur vous et nous vous en remercions par avance

Annie Sugier, présidente de la Ligue du Droit International des Femmes

Communiqué de presse de la Ligue du Droit International des femmes du 26 avril 2019/ LDIF Press release 26 April 2019

DAKAR 2020 en Arabie Saoudite : oubliées les valeurs du sport ?

Le Prince Khalid bin Sultan Abdullah Al Faisal, président de la Fédération des sports mécaniques, a osé déclarer devant la presse que : « Le Dakar va montrer l’Arabie saoudite sous son véritable visage ». Les organisateurs du Dakar, en signant un partenariat de cinq ans avec l’Arabie saoudite, abandonnent sans état d’âme les principes éthiques du sport. Ils se font les porte-voix d’un régime qui condamne les défenseur.es de la liberté d’expression aux pires châtiments et qui impose l’apartheid sexuel emprisonnant les femmes dans un statut de second rang.

Il est loin le temps où les Nations-Unies et les dirigeants sportifs décidaient de sanctionner l’Afrique du Sud pour cause d’apartheid racial. L’argent du pétrole a corrompu les consciences.

A nous de les réveiller  en rappelant l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi sur ordre du prince héritier, les violences d’Etat à l’encontre du blogueur Raif Badawi, comdamné à dix ans de prison et mille coups de fouet, les tortures dont sont victimes les dix activistes féministes arrêtées en mai 2018.C’est pour dénoncer ce type de violences que nous avons lancé une pétition dans la perspective des JOP Paris 2024 pour que le monde du sport respecte ses propres principes éthiques ( https://www.change.org/p/petition-paris-2024-appliquez-la-charte-olympique>)

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Un combat gagné mais pas « encore » contre l’apartheid sexuel !

Les menaces qui pèsent sur la première boxeuse iranienne de l’histoire, Sadaf Khadem, démontrent la justesse de notre combat contre l’apartheid sexuel !

Communiqué de la Ligue du Droit International des Femmes :

Le 13 avril, à Royan, la première boxeuse iranienne de l’histoire, Sadaf Khadem, s’imposait face à  la Française, Anne Chauvin, devant un public de près de 1.500 personnes. Alors que cette victoire aurait dû lui valoir les félicitations de la Fédération de Boxe iranienne, c’est le contraire qui se produit. Le voyage de retour en Iran de la jeune championne et de son coach, le Français Mahyar Monshipour, vient d’être annulé, leur attaché de presse ayant annoncé à l’AFP qu’ils sont sous le coup d’un mandat d’arrêt.

Le crime de Sadaf Khadem ? Avoir contrevenu aux lois de son pays qui imposent un strict apartheid sexuel et interdisant aux femmes certains sports dont la boxe. Or la jeune championne a eu l’audace de s’entraîner en France avec un homme pour coach et, lors de son combat, elle a osé ne pas couvrir ses cheveux, son cou, ses jambes, ses bras, adoptant la tenue normale des boxeuses ! Pis, elle a revendiqué le caractère exemplaire de son combat :« On a gagné pour les femmes et on doit être fortes partout pour gagner pour les femmes (…) Les femmes peuvent franchir les montagnes si elles le veulent ».

 

Que devons-nous penser du silence de la Ministre des Sports et des instances sportives françaises ? Et que penser du silence des instances sportives internationales ? Alors que le Ministère de l’Education Nationale vient de lancer un programme de formation des jeunes de la « Génération 2024 » aux valeurs olympiques, pourra-t-il longtemps faire l’économie d’une réflexion sur le non-respect de ces valeurs par certains pays qui seront invités à Paris, notamment l’Iran et l’Arabie Saoudite lesquels imposent l’apartheid sexuel pénalisant principalement les femmes ?

 

C’est pour dénoncer ce silence que nous avons lancé la une pétition à l’adresse du Comité d’organisation des JOP Paris 2024 avec le soutien de plus de 100 ONG françaises et étrangères et de plus de 500 personnalités, militant.es et sympahtisant.es, en vue d’atteindre  le chiffre symbolique de 2.024 signataires.

https://www.change.org/p/petition-paris-2024-appliquez-la-charte-olympique>

Actualité Communiqué officiel Harcèlement Violences faites aux femmes

Les discriminations de genre à nouveau en hausse en 2018 – IEFH

 

Les discriminations de genre à nouveau en hausse en 2018

27 février 2019, Bruxelles – Deux fois plus de signalements en cinq ans, une augmentation marquante en 2017 qui se poursuit en 2018. L’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes reçoit chaque année plus de signalements pour dénoncer des discriminations fondées sur le genre. Qu’elles soient à l’égard des femmes, des hommes ou des personnes transgenres, les discriminations de genre restent un problème majeur. À l’approche de la journée internationale des femmes, l’Institut diffuse ces chiffres 2018.

« Fonder une famille tout en travaillant, recevoir le même salaire que son collègue, être embauché·e pour ses compétences, faire le sport de son choix, être traité·e avec respect… Cela sonne comme une évidence, pourtant, nous sommes encore loin d’une société où chacune et chacun vit librement quel que soit son genre. Mais, le sexisme, les stéréotypes de genre, les discriminations en raison d’être une femme, un homme, ni l’un ni l’autre ou les deux, sont de moins en moins tolérées. » observe Michel Pasteel, directeur de l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes.

11% de signalements en plus par rapport à 2017

Chaque année, le nombre de signalements pour discrimination adressés à l’Institut augmente. En 2018, l’Institut a reçu 818 signalements, dont 355 demandes d’informations, 258 plaintes et 205 communications. En cinq ans, le nombre de signalements a plus que doublé, avec une hausse importante en 2017 qui se poursuit en 2018 (+11%). Les discriminations les plus rapportées sont la discrimination directe, celle en raison du sexe et celle en raison de la maternité. Les femmes en sont les principales victimes. La moitié des signalements sont émis par des femmes, près de 30% par des hommes.

L’emploi reste le domaine où les discriminations sont les plus fréquentes, il représente 45% des signalements. Dans ce domaine, près de neuf signalements sur dix portent sur une discrimination directe. Les femmes sont discriminées à chaque étape de la relation de travail (recrutement, conditions d’emploi, licenciement), et particulièrement en raison de la grossesse et de la maternité, même futures. 90% des signalements pour discrimination sur base de la grossesse ou de la maternité sont liés au travail.
Les signalements pour incitation à la discrimination ont triplé par rapport à 2017. Ils dénoncent essentiellement des propos haineux et sexistes prononcés en rue, sur internet ou dans les médias. Un signalement sur cinq dénonce un cas de sexisme.
Les signalements liés à la thématique transgenre ont fortement augmenté en 2018, +63% par rapport à 2017. Cette hausse s’explique, en partie par l’entrée en vigueur de la loi sur la modification de l’enregistrement de sexe et les problèmes administratifs qui ont suivi. De nombreuses personnes ont également contacté l’Institut au sujet de la nouvelle loi (76%). Les deux autres domaines les plus importants liés à la discrimination des personnes transgenres sont l’emploi (28%) et les biens et services (28%). Conclure une assurance reste encore souvent problématique pour les personnes transgenres, cela représente près de 30% des signalements dans les biens et services.

« L’égalité des sexes est un droit fondamental, mais aussi un fondement nécessaire à la construction d’une société durable. Comme en attestent les signalements, nous n’y sommes pas. Chaque année, l’Institut est amené à traiter davantage de dossiers. Les défis à relever sont de taille et doivent retenir l’attention du prochain gouvernement. »souligne Michel Pasteel, directeur de l’Institut.

Pourquoi contacter l’Institut ?
L’Institut reçoit et enregistre des plaintes pour discrimination fondée sur le sexe ou le genre et peut informer toute personne qui le souhaite à propos du cadre légal en la matière, via le 0800/12 800 ou via le formulaire de contact sur le site igvm-iefh.belgium.be. L’Institut peut en outre conseiller les victimes, entamer une médiation en leur nom et même aller en justice.

NB : la factsheet reprenant les chiffres principaux est disponible sur le site de l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes : www.igvm-iefh.belgium.be

 

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Matinée thématique « Egalité des chances » ce vendredi 15 mars à Bruxelles

Bruxelles Pouvoirs locaux organise ce 15 mars 2019, un événement à destination des nouveaux échevins de l’égalité des chances bruxellois.

En effet, le rôle de Bruxelles Pouvoirs locaux est de soutenir les communes bruxelloises dans la mise en œuvre de politiques d’égalité des chances.

Le but de cet événement est de leur présenter notre action. Ils mettront l’accent sur 3 thèmes :

-le gender mainstreaming

-le handistreaming

-la lutte contre la discrimination à l’égard des personnes LGBT

Dans le cadre du thème gender mainstreaming, Ils ont invité notre association à fournir une contribution concrète sur les politiques temporelles et comment elles peuvent venir renforcer l’égalité entre hommes et femmes dans l’offre de loisirs (sport, accueil temps libre…) offerte par les communes.

Le programme de cette matinée: https://magicpapys.info/wp-content/Fichiers/séminaire 15 mars 2019

Plus d’info sur les événements de la semaine: https://www.bruxelles.be/semainedesdroitsdesfemmes

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Colloque – Violences faites aux femmes

Vous êtes sensible ou engagé(e) à la problématique des violences envers les femmes, professionnels de la santé, des travailleurs sociaux, psychologues, enseignants, services d’urgences, …

Henallux vous invite à une journée de sensibilisation à la problématique des « Violences faites aux femmes – Comment les détecter et accompagner les victimes ? des outils pour les professionnels de la santé et du social».

Cette journée sera organisée le mardi 26 février 2019 à Namur

Programme:

Accueil: en la présence de Mme Gréoli

Matinée:

Vision sociologique et état des lieux des différentes types de violences, leurs fréquences, leurs circonstances.

Regard socio-culturel sur les violences sexuelles, physiques, psychologiques.

Table-ronde autour de la victime avec policier, soignant, juriste, travailleur sociaux, procureur du Roi…

 Après-midi:

Ateliers animés par des experts issus de structures d’accueil et d’accompagnement.

Conclusion en plénière: pistes de reconstruction possibles, regard philosophique.

 

 

N’hésitez pas à réserver votre journée et à y inviter vos collègues qui pourraient être intéressés.

 

Inscriptions uniquement via notre site : Colloque Violences faites aux femmes

 

 

Au plaisir de vous y rencontrer.

 

Fabienne Liesse

Directrice des formations continues certificatives

FoRS paramédical

Haute Ecole de Namur-Liège-Luxembourg

39, rue Louis Loiseau

5000 Namur

081/468 600

0479/70 84 35

https://services.henallux.be/fors/paramedical/

 Logo HENALLUX   cid:image005.png@01D47CBA.56F95890

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Signons la pétition ! Demandons la création d’un Ministère des Droits des Femmes !

Synergie Wallonie pour l’égalité entre les Femmes et les Hommes se mobilise encore et toujours dans la lutte contre les inégalités entre les sexes en Belgique et se joint à AlterEgales pour réclamer la création d’un Ministère des Droits des Femmes.  Nous avons besoin de votre soutien !  Rejoignez-nous !

 

En 2018, en Belgique, l’égalité des femmes et des hommes n’est toujours pas acquise ! Dans tous les domaines (social, économique, politique, culturel, etc.), les femmes subissent toujours des inégalités criantes. Les droits qu’elles ont conquis restent fragiles, menacés, voire inappliqués.

Devant l’ampleur des inégalités hommes-femmes et le fait qu’elles soient souvent cumulées avec d’autres discriminations, il est primordial de reconnaître une spécificité à la lutte contre le sexisme.

Un Ministère des Droits des femmes à tous les niveaux de pouvoir est donc nécessaire pour corriger ces inégalités structurelles qui jalonnent la vie des femmes depuis la petite enfance jusqu’à l’âge de la pension et au-delà.

Un Ministère des Droits des femmes à tous les niveaux de pouvoir, c’est également un signal fort donné à la société. Pour que demain, l’égalité des femmes et des hommes ne soit pas un vain mot, mais une réalité. Pour que demain, l’égalité des femmes et des hommes soit structurellement intégrée dans notre société !

Pour signer la pétition, utilisez le lien ci-dessous:

https://secure.avaaz.org/en/community_petitions/Tous_les_niveaux_de_pouvoir_en_Belgique_Pour_un_Ministere_des_Droits_des_femmes_a_tous_les_niveaux_de_pouvoir_en_Belgiqu/details/

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PARIS 2024 – REVENIR A L’ESPRIT OLYMPIQUE

 

 

Synergie Wallonie pour l’égalité entre les Femmes et les Hommes, membre actif du collectif du premier cercle pour l’interpellation du COJO Paris 2024, vous sollicite dans sa démarche de solidarité envers les iraniennes et saoudiennes dans la lutte contre L’APARTHEID SEXUEL !

 

L’un de nos combats essentiels aujourd’hui est la défense de la notion même d’universalité qui est de plus en plus souvent contestée.

 

Les actions de préparation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 constituent une occasion unique de promouvoir les « valeurs universelles fondamentales » telles qu’inscrites dans la Charte Olympique, incluant une forme exigeante de laïcité (la règle 50).

 

Il n’est pas trop tôt pour y penser car c’est maintenant que le Ministère de l’Education Nationale -en liaison avec les Organisateurs des Jeux – lancent des programmes visant la « GENERATION 2024 » dans les collèges et les Lycées.

 

Dans cette perspective,

  • Seriez-vous d’accord pour signer la lettre ci-jointe d’INTERPELLATION du Comité d’Organisation des Jeux de Paris 2024 (ci-jointe également la liste des premières signatures) ?
  • Comment vous souhaitez être présenté.e dans la liste de signataires ?

 

L’objectif est d’obtenir « 2.024 signatures pour un Paris 2024 respectueux de la Charte Olympique ».

 

La BROCHURE jointe explicite nos arguments et énumère les associations en soutien. Dites-nous si vous souhaitez que votre association apparaisse.

https://magicpapys.info/wp-content/Fichiers/PARIS 2024 Brochure.pdf

https://magicpapys.info/wp-content/Fichiers/PARIS 2024 Soutiens.pdf

https://magicpapys.info/wp-content/Fichiers/PARIS 2024 Interpellation.pdf

Ecrivez-nous à l’adresse suivante : appliquerlacharteolympique@gmail.com

 

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The Global Girls’ Summit 2018

A la veille de la septième Journée internationale officielle de la fille, Plan International et de jeunes activistes du monde entier accueilleront le deuxième Sommet mondial annuel des filles – Girls Get Equal Live dans la capitale européenne, Bruxelles !

L’événement s’inscrit dans un élan de solidarité avec des milliers de filles à travers le monde qui participent à une action #GirlsTakeover historique des dirigeants mondiaux pour marquer cette journée.

Quand: Mercredi 10 octobre 2018 – Ouverture des portes à 17h30

: Halles St. Géry, Bruxelles

Quoi: Une soirée d’inspiration, d’annonces et de girl power, ouverte par Sa Majesté la Reine des Belges et qui inclura de nombreux-ses autres personnalités ainsi que des jeunes activistes du monde entier.

Inscrivez-vous et rejoignez-nous le 10 octobre dès 17h30 pour participer à une soirée qui rassemblera 400 des principaux acteurs du changement issus des domaines des arts, des affaires, de la politique, de entrepreneuriat, des sciences, du sport et des médias pour célébrer le potentiel des filles et des jeunes femmes, et exhorter à une action urgente pour soutenir le pouvoir des filles partout dans le monde.

https://attendify.co/the-global-girls-summit-w7m0ARl

Les intervenant-e-s comprendront l’influenceuse Cleo Wade, connue sous le nom  d’« Oprah de la génération du millénaire », et la co-fondatrice de Refinery29 (plateforme média destinée aux jeunes féministes), Piera Geldari. Des représentant-e-s d’ONU Femmes, des institutions européennes et du gouvernement belge seront également présent-e-s à l’événement.

Les filles peuvent et continueront de mener le changement mais elles ont besoin d’allié-e-s.