Actualité Violences faites aux femmes

Féminicide et Convention d’Istanbul : il est urgent d’agir !

Un vingtième féminicide en Belgique en 2019.

Comment agir ? en étant notamment plus à l’écoute des femmes qui sont victimes d’agressions physiques et verbales, en prennant le temps de les écouter, de les protéger et en mettant en place des structures d’accueil pour leur permettre de s’en aller avec leurs enfants…
Quand la Belgique se donnera-t-elle pleinement les moyens d’action pour mettre en pratique la Convention d’Istanbul qu’elle a signée ?

https://www.rtbf.be/info/dossier/les-grenades/detail_convention-d-istanbul-et-violences-faites-aux-femmes-la-belgique-mauvais-eleve-irene-kaufer?id=10357947&utm_source=rtbfinfo&utm_campaign=social_share&utm_medium=fb_share&fbclid=IwAR268a28LNm7cqNtPI-S8JjLtnkjZw2cDIUck8ufug-4MypG39FO9_L29iA

#féminicide #protectiondesfemmes 

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Actualité Droit des femmes Egalite femmes-hommes

Carte blanche à l’observatoire féministe des Violences faites aux femmes : Yvon Dellaire, un discours dangereux

« …le discours porté par Yvon Dallaire est un discours dangereux. Il séduit les foules en présentant des méthodes pour réussir son couple, mais il sous-entend que l’égalité est atteinte, voire que ce sont les femmes qui dominent. Et finalement, il présente les hommes comme « victimes » d’une société qui se féminise.

Il est facile de constater comment ce discours inverse tout bonnement les rôles de victime et d’agresseur. C’est un discours qui banalise les violences faites aux femmes parce qu’il légitime la domination qu’elles subissent. De plus, Yvon Dallaire stigmatise les femmes qui revendiquent leurs droits à juste titre et plus particulièrement les féministes. »

Synergie Wallonie se joint aux voix de Marie Denis, psychologue/ co-fondatrice de l’Observatoire féministe des Violences faites aux femmes et de Viviane Teitelbaum, présidente de l’Observatoire féministes des Violences faites aux femmes
pour s’inquiéter de la visibilité médiatique de ces discours si opposés à l’égalité entre les femmes et les hommes.

https://www.levif.be/actualite/international/l-homme-qui-presente-les-hommes-comme-victimes-d-une-societe-qui-se-feminise…

Actualité Violences faites aux femmes

« Cinglée » un spectacle sur les féminicides à voir à Bruxelles

Un spectacle interpellant qui derrière une sorte de « phobie » de rechercher les infos sur les meurtres traite de thématiques d’actualité telles que le féminicide, les violences, les médias…
A voir au Rideau de Bruxelles, dès aujourd’hui.

CÉLINE DELBECQ / LA BÊTE NOIRE
SURTITRÉ EN NÉERLANDAIS

Depuis que Marta Mendes est tombée sur un article relatant le « premier » meurtre d’une femme de l’année 2017 en Belgique, elle passe ses journées à dépouiller les journaux en quête fébrile de ceux qui suivront.

Devant la liste qui s’allonge irrémédiablement et dont elle tient le registre jour après jour, devant les boîtes d’archives qui s’empilent, Marta ne voit d’autre choix que d’écrire au Roi Philippe de Belgique qui, elle en est sûre, saura mettre un terme à cette situation qui la rend malade. « Quand on lit un article, c’est un fait divers. Mais quand on regarde les caisses, c’est un génocide. » Cette pièce trace le parcours de combattant d’une résistante gagnée par la folie d’un monde qui refuse de voir, de reconnaître et d’agir. Son combat, et vraisemblablement celui de Céline Delbecq à ses côtés, est aussi celui du vocabulaire, des mots utilisés par les médias pour parler de ces féminicides dont on ne dit pas le nom.
Comment comprendre le silence qui entoure les faits glaçants dont nous sommes les témoins ? Qu’est-ce qui nous définit en tant que sujets humains devant le crime ? Notre capacité à nous “mettre à la place de l’autre” peut-elle être le levier de toute humaine révolte ?

Écriture et mise en scène : Céline Delbecq
Avec : Yves Bouguet, Stéphane Pirard, Anne Sylvain, Charlotte Villalonga
Musique : Pierre Kissling
Scénographie : Thibaut de Coster et Charly Kleinermann
Création lumière : Julie Petit-Etienne
Régie générale : Aude Ottevanger
Assistanat : Delphine Peraya
Regard dramaturgique : Silvia Berutti-Ronelt
Travail vocal : Sylvie Storme
Traduction : Griet Rigole
Régie lumière : Gauthier Minne
Habillage : Nina Juncker
Accompagnement et Diffusion BLOOM Project/Claire Alex

Éditions Lansman, 2019

Production Rideau de Bruxelles, Compagnie de la Bête Noire, Théâtre des Ilets/CDN de Montluçon FR, Atelier Théâtre Jean Vilar/LLN, Centre culturel de Dinant, Maison de la Culture de Tournai/maison de création, La Coop asbl.
Soutiens Shelterprod, Taxshelter.be, ING, Tax-Shelter du gouvernement fédéral belge, Wallonie-Bruxelles International.
Aides Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Service du Théâtre – CAPT.
Et les partenaires Théâtre 140, Centre culturel Jacques Franck, Centre culturel de Mouscron, Centre culturel de Gembloux, Festival Paroles d’Hommes, La Vénerie, Arrêt 59 Foyer culturel de Peruwelz, Centre culturel de Comines-Warneton, Centre culturel de Huy, Chartreuse Cnes de Villeneuve-Lez-Avignon, Wallonie-Bruxelles Théâtre-Danse, Le comité mixte/Fédération Wallonie-Bruxelles, Service de la Promotion des Lettres du Ministère de la Communauté française de Belgique, Amnesty International, Vie Féminine.

Actualité Egalite femmes-hommes

Synergie Wallonie participe au Village de la Diversité du SPW

Une journée de rencontre avec les fonctionnaires de la Région Wallone le mardi 24 septembre a permis divers échanges sur les questions de l’égalité entre les femmes et les hommes.

L’occasion pour 23 associations, dont Synergie Wallonie, d’attirer l’attention sur l’importance de la diversité et du respect de chacun.

Un quizz sur le stand, testant les connaissances des participants sur l’état des lieux de l’égalité femmes-hommes, a suscité de nombreuses discussions.

 

 

Agenda Egalite femmes-hommes Prix A-M. Lizin Uncategorized

Prix Anne-Marie Lizin -Théroigne de Méricourt 2019

Appel à candidature pour le Prix Anne-Marie Lizin – Théroigne de Méricourt 2019

PROLONGATION DE LA DATE DE REMISE DES DOSSIERS DE CANDIDATURE  jusqu’au 21 NOVEMBRE

Vous connaissez une association ou une personnalité wallonne que vous souhaitez soutenir et valoriser, n’hésitez pas à poser sa candidature.

Le Prix Théroigne de Méricourt créé en 2004, récompense, chaque année, une personnalité féminine et/ou une association résidant ou active en Wallonie, luttant pour faire triompher le droit des femmes, l’égalité des genres et/ou favoriser l’autonomie d’autres femmes.
Ce prix a aussi pour objectif de mettre en lumière la créativité d’une artiste wallonne en prenant une de ses œuvres comme prix remis.

Pour cette édition 2019, l’artiste sélectionnée est Evelyne Dabe.

Cette année, le Prix fête ses quinze ans. Synergie Wallonie pour l’Egalité entre les Femmes et les Hommes a choisi de donner à sa remise un lustre particulier.

La cérémonie de remise du Prix Anne-Marie Lizin – Théroigne de Méricourt se déroulera

le lundi 2 décembre prochain, à partir de 17h, au Foyer du Théâtre de Namur.

Les candidatures sont à déposer (par une association et/ou des personnes physiques) par la remise d’un dossier proposant la candidature au Prix d’une femme ou d’une association vivant ou étant active en Wallonie, et dont l’engagement personnel ou professionnel répond à un ou plusieurs des critères suivants :

  • lutte pour faire triompher le droit des femmes et l’égalité des genres ;
  • actions en faveur de l’autonomie d’autres femmes ;
  • création d’emplois (et notamment pour d’autres femmes) ;
  • lutte pour une meilleure conciliation vie privée
  • vie professionnelle ;
  • engagement pour promouvoir le travail des femmes dans un domaine traditionnellement très masculin ;
  • toute action de recherche et/ou de mobilisation permettant l’amélioration de l’égalité entre les Femmes et les Hommes, tout domaine confondu (droits, santé, travail, …).

==>> PROLONGATION DE LA DATE DE REMISE DES DOSSIERS DE CANDIDATURE  jusqu’au 21 NOVEMBRE

Les formulaires de candidature sont disponibles sur demande via l’adresse info.synergiewallonie@gmail.com

ou via le lien ci-dessous https://magicpapys.info/wp-content/Fichiers/prix AML 2019

Actualité Agenda

Les ateliers féministes du dimanche : « Comment résister à la charge mentale familiale et ménagère ? » 24.11.2019

Coincée entre l’image du parent parfait, de la travailleuse flexible et de la ménagère digne d’une guide de conseil des années 50, nombreuses d’entre nous se sentent étouffer entre les lessives, l’agenda des médecins et la survie financière de la famille. Que l’on soit mère célibataire, enfant de parents dépendants, dans un couple hétéro ou homo, la répartition inégalitaire des tâche est monnaie plus que courante. En 2019, 75 % des familles belges fonctionnent encore avec un partage inégal des tâches et 80 % de celles-ci sont effectuées par les femmes… L’atelier organisé par AFICo vous propose de découvrir les origines du problème et quelles sont les recettes à adapter à chaque cellule familiale mais aussi les combats sociétaux à mener pour que toutes et tous nous ayons autant de loisirs, de libertés que de tâches ! Atelier ouverts aux femmes et aux hommes.
Pour mieux comprendre :https://emmaclit.com/2017/05/09/repartition-des-taches-hommes-femmes/

https://www.afico.be/component/dpcalendar/event/63?calid=15

 

 

Actualité Droit des femmes

CFFB : université d’automne ce samedi à Namur

Le Conseil des Femmes Francophones de Belgique organise sa première Université d’automne ce samedi 21 septembre.

Programme de la journée

PREMIÈRE PARTIE.

9:00 – 9:30
Accueil et introduction
Sylvie Lausberg, présidente du CFFB
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9:30 – 10:00
Les droits des femmes et les niveaux de pouvoir en Belgique
Entre éclatement des compétences et dissolution de la responsabilité politique, par Anne-Emmanuelle Bourgaux, avocate et professeure de droit public
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10:00 – 11:30
Présentation des associations-membres du CFFB
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11:30 – 12:30
Rencontre avec les sections locales et les commissions de travail
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Lunch
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❗ L’après-midi est réservé aux associations-membres et membres individuelles ❗

DEUXIÈME PARTIE.

13:30 – 16:30
Le CFFB aujourd’hui et demain
Introduction par Isabelle Kempeneers, Vice-présidente du CFFB
Ateliers participatifs
13:30 – 14:30 Atelier sur la structure et le fonctionnement du CFFB
14:30 – 15:30 Atelier sur les dossiers prioritaires du féminisme
15:30 – 16:30 Atelier sur les nouveaux enjeux du féminisme
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16:30
Verre de l’amitié

N.B.: La première partie est ouverte à tout public tandis que la deuxième est réservée aux associations et membres affiliées.

Inscription avant le 19 septembre 2019. L’évènement est entièrement gratuit.

 

Actualité IVG

Enjeux politiques de l’IVG en Belgique :

Loi relative à l’interruption volontaire de grossesse du 15 octobre 2018.
Un an après son adoption, quels sont les enjeux politiques relatifs à l’IVG en Belgique?


Programme:
Accueil et introduction
Henri Bartholomeeusen, président du Centre d’Action Laïque
Historique de l’adoption de la loi du 15 octobre 2018
Sylvie Lausberg, directrice du service Étude et stratégie du Centre d’Action Laïque
Enjeux juridiques liés à l’application de la loi du 15 octobre 2018 et recours à la Cour constitutionnelle
Patricia Minsier, avocate au barreau de Bruxelles
Entre volontarisme politique et difficultés d’accès à l’IVG, l’exemple français
Véronique Séhier, présidente du Planning familial français

Table ronde: quelle stratégie politique pour garantir et améliorer la loi belge?
En pratique:
Le mardi 15 octobre 2019, de 9h à 12h30, suivi d’un drink et de sandwiches
Au Centre d’Action Laïque (salle Willy Peers) – Campus de la Plaine ULB (accès 2) à 1050 Bruxelles
Entrée gratuite mais inscription obligatoire
Infos et inscriptions: cal@laicite.net

 

Actualité Stéréotypes

Laïcité : « Le sport, lieu d’apprentissage d’une règle unique »

Soutenue par un collectif de personnalités et d’associations, Annie Sugier, présidente de la Ligue du droit international des femmes, appelle, dans une tribune au « Monde », le Comité d’organisation des JO de Paris 2024 à appliquer strictement la lettre de la Charte olympique.

Publié le 13 août 2019 à 10h24 – Mis à jour le 13 août 2019 à 10h26 Temps de Lecture 4 min.

Match Egypte-Italie au tournoi féminin de beach-volley des Jeux olympiques de Rio, en 2016.

Match Egypte-Italie au tournoi féminin de beach-volley des Jeux olympiques de Rio, en 2016. YASUYOSHI CHIBA / AFP

Tribune. L’interférence du religieux dans le sport est incontestablement un sujet d’actualité qui embarrasse tout autant les pouvoirs publics que les dirigeants sportifs. Un exemple révélateur : les actions de « désobéissance civile » dans une piscine de Grenoble, menées par une quinzaine de femmes en burkini revendiquant le droit de se baigner avec un maillot de bain couvrant, interdit par le règlement intérieur.

Réagissant à la situation, Eric Piolle, le maire écologiste de Grenoble, en appelle au président de la République pour trancher : « Est-ce que le gouvernement veut ou pas que la piscine devienne, comme l’école, un sanctuaire qui soit protégé du religieux, et donc avoir un regard qui est contraire, aujourd’hui en tout cas, aux regards de l’Observatoire de la laïcité et du Défenseur des droits ? »

Allant dans le même sens, les rapporteurs de la mission parlementaire sur les services publics face à la radicalisation mentionnent une proposition consistant à s’inspirer de la loi sur les signes religieux à l’école : « Il peut y avoir là une piste de réflexion, même si les possibilités de réglementer, dans des structures sportives de droit privé, des comportements religieux (même ostensibles) paraissent limitées. »

Lire aussi Des femmes en burkini manifestent dans une piscine de Grenoble

Les termes du débat sont ainsi posés : d’un côté, une vision étroite de la laïcité, de l’autre, la promotion d’une vision éducative du sport.

Réaffirmant les limites de la laïcité, des guides sont élaborés afin d’aider les personnels d’encadrement à gérer ce type de conflits. L’Union française des œuvres laïques d’éducation physique (Ufolep, première fédération sportive multisports affinitaire de France) publie « Le C.O.D.E. du sport et laïcité », puis c’est au tour du ministère des sports, avec le guide « Laïcité et fait religieux dans le champ du sport ».

L’impuissance domine

Dès l’introduction, le ministère précise : « L’ambition de ce guide est de démontrer qu’expression du fait religieux et laïcité ne sont pas, en soi, incompatibles dans le champ du sport. » L’Ufolep se montre encore plus précise en citant les propos de Pierre Tournemire, vice-président de la Ligue de l’enseignement : « Notre société est durablement multiculturelle. Les revendications identitaires ou les pratiques religieuses doivent pouvoir légitiment s’exprimer sur la place publique sans contrainte ni suspicion, aux seules conditions précisées pour l’espace public. »

Ces guides proposent un message simple : la laïcité ne s’applique qu’aux professionnels relevant du statut d’agents publics. S’agissant des pratiquants, l’on se doit de respecter leur liberté de manifester leurs convictions, à condition que cela ne porte pas atteinte à l’ordre public. Les auteurs s’empressent d’ajouter que la notion d’ordre public est à manier avec précaution, car elle risque de cacher une potentielle discrimination pour un motif religieux, se gardant bien d’admettre que le motif religieux masque une discrimination sexiste !

Article réservé à nos abonnés Lire aussi « Sur la laïcité, évitons les disputes inutiles »

En résumé, faute de réflexion politique sur la fonction sociétale du sport, c’est l’impuissance qui domine. Doit-on en rester là ?

Nicolas Cadène, rapporteur général de l’Observatoire de la laïcité, dans une intervention annexée au guide du ministère des sports, réaffirme les limites de la laïcité, mais propose une voie intéressante : « Ici, en réalité, ce n’est d’ailleurs pas une question de laïcité. Cette absence de tout prosélytisme découle des valeurs du sport, rappelées notamment dans la règle 50 de la Charte olympique et dans la loi 4 de la FIFA concernant le football. »

Sanctionner les contrevenants

Il rejoint ainsi la vision promue par l’association belge Panathlon Wallonie-Bruxelles, bras armé du mouvement olympique belge pour l’éthique sportive. Sous l’impulsion de son président, Philippe Housiaux, trois colloques ont été organisés avec des représentants du sport, des religions et de la laïcité, qui ont débouché sur la déclaration « Le Sport, l’esprit de l’humanité », dont l’élément principal est le suivant : « Il/elle accepte, dès qu’il/elle franchit les portes ou entre dans l’espace “sport”, sans aucune exception, pendant l’exercice de sa pratique, à faire siennes et se conformer aux règles du sport, au sens le plus large, sans mettre en exergue ses convictions philosophiques, de façon ostentatoire et intolérante, de quelque manière que ce soit. »

Avec cette même préoccupation à l’esprit, la Ligue du droit international des femmes, soutenue par plus de 100 associations et plus de 360 personnalités, a adressé une lettre ouverte au Comité d’organisation des Jeux de Paris 2024, exigeant l’application de la Charte olympique et des sanctions à l’encontre des contrevenants. Parmi ceux-ci, l’Iran et l’Arabie saoudite, qui soumettent la participation de leurs athlètes féminines à des exigences reflétant un strict apartheid sexuel (participation aux seules disciplines jugées « coraniques », corps couvert de la tête aux pieds et épreuves non mixtes). Parce que les Jeux sont la vitrine de nos sociétés, Paris se doit d’être exemplaire. Rappelons que plus de 50 métropoles dans le monde avaient soutenu notre candidature au motif que « Paris dispose des atouts et de la volonté nécessaires pour donner un nouveau souffle aux valeurs olympiques ». Ainsi, le sport restera le lieu d’apprentissage du respect de la règle unique.

Annie Sugier est présidente de la Ligue du droit international des femmes. Elle a écrit, avec Linda Weil-Curiel et Gérard Biard, Comment l’islamisme a perverti l’olympisme (Chryséis, 2018).

Cosignataires : Michèle André, secrétaire d’Etat chargée des droits des femmes et de l’égalité des chances entre les hommes et les femmes (1988-1991) ; Djemila Benhabib, écrivaine franco-algérienne, femme politique ; Marie-George Buffet, députée de la Seine-Saint-Denis, ex-ministre des sports ; Chahla Chafiq, écrivaine et sociologue iranienne ; Nadia El Fani, réalisatrice, scénariste et productrice franco-tunisienne ; Zineb El Rhazoui, journaliste, militante féministe ; Jacqueline Eustache-Brinio, sénatrice du Val-d’Oise ; William Gasparini, sociologue du sport, université de Strasbourg ; Benoit Hubert, secrétaire général du Syndicat national de l’éducation physique, FSU ; Julia Kristeva, linguiste, psychanalyste et écrivaine ; Françoise Laborde, sénatrice de la Haute-Garonne, vice-présidente de la délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes ; Corinne Lepage, ex-ministre de l’environnement ; Catherine Louveau, sociologue, professeure émérite, université Paris-Sud ; Laurence Marchand-Taillade, présidente de Forces laïques; Yvette Roudy, ex-ministre pour les droits des femmes ; Georges Vigarello, historien du sport et du corps, directeur d’études à l’EHESS.

https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/08/13/laicite-le-sport-lieu-d-apprentissage-d-une-regle-unique_5499000_3232.html

 

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Femmes & Santé propose: Permanences collectives autour de l’avortement