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Sorcière, fille, soeur et mère de sorcière et fière de l’être ! Signez la pétition

« Nous nous déclarons filles spirituelles des sorcières, libres et savantes. Nous nous déclarons soeurs de toutes celles qui aujourd’hui encore, parce qu’elles sont femmes, risquent la violence et la mort. Femmes et hommes qui nous soutenez, clamons haut et fort notre solidarité et notre sororité.
Et alors que la question des savoirs et de la sagesse enseignés de la nature s’impose à nous de la pire des manières, par l’urgence à agir, affirmons le ici : que se lèvent celles et ceux qui se battent pour la Terre, que vivent et prospèrent les sorcières ! »

 

Sorcières de tous les pays, unissons-nous !

chapeau de sorcière

Signez la pétition en ligne sur  : https://www.change.org/p/tout-le-monde-sorci%C3%A8res-de-tous-les-pays-unissons-nous?fbclid=IwAR1xLkBmEdqmUSqKTARuwtFgkIXqixdVNnXoQNlmMQATXWZkr63sH-iemxA

Sorcières de tous les pays, unissons-nous !
Halloween est terminé. Les costumes sont rangés. Parmi eux, en bonne place, figurent ceux de sorcières, valeur sûre pour effrayer les petits, comme les grands.

Sorcières ! Archétypes de la laideur, elles ont le nez crochu surmonté d’une immonde verrue, des dents cariées, des doigts flétris, griffus. Leur visage est marqué de rides dévorantes et de cheveux blancs qui transpirent la mort. Quand elles ne sont pas d’une laideur à faire peur, elles sont d’une sensualité à effrayer le commun. Hyper sexualisées, maquillage outrancier, rouge intense aux lèvres et noir aux yeux, leur décolleté plongeant n’a qu’un seul but : attirer le regard de l’imprudent. La robe sexy et les talons hauts complètent le tableau pour mieux mettre en valeur une longue chevelure aux couleurs chaudes, forcément indécente. Et que dire du balai ? Emblème de la domestication des femmes transformé en engin phallique sur lequel les sorcières ont tout pouvoir et qu’elles chevauchent pour grimper jusqu’au ciel ?

Sorcières ! Toute notre jeunesse, nous avons été bercées par ces histoires de femmes démoniaques capables de tout pour détruire… d’autres femmes. Les jeunes filles pures et douces, pour qui le plus grand danger ne serait pas de croiser des agresseurs, tabasseurs ou violeurs. Non. Ce serait de réveiller la jalousie ou la folie de leurs soeurs. Miroir, mon beau miroir, qui est la plus belle ? A travers les sorcières, le féminin est devenu l’emblème de la duplicité et de la cruauté, surtout quand il incarne le pouvoir : de la méchante Reine de Blanche-Neige à Mélisandre, la « Femme rouge » de Game of Thrones, ces femmes fortes inspirent crainte et défiance. La sorcière met au jour ce qui chez les femmes est censé rester caché, au
risque de devenir incontrôlable et destructeur : la sexualité et le pouvoir. Et, comble de l’ironie, Mélisandre ira jusqu’à pousser un homme à brûler, sous les yeux de la foule, sa propre fille. Le bûcher devenu instrument de la sorcière, la victime de cette magie noire une enfant, il fallait le faire…

Sorcières ! En Europe surtout, mais aussi en Amérique, elles sont mortes assassinées par dizaines de milliers aux XVIè, XVIIè et XVIIIé siècles, dans des chasses d’une cruauté sans limite. Torturées, noyées, brûlées vives, sur de simples accusations, après des simulacres d’investigations et de procès. Les féministes des années 1970(1) nous avaient déjà ouvert les yeux sur la réalité de ces violences, mais comme souvent, leur travail de mémoire a peu à peu été invisibilisé. Alors il nous faut le répéter, comme l’a fait Mona Chollet dans son livre Sorcières, la puissance invaincue des femmes. Car nous sommes nombreuses et nombreux à l’avoir oublié, à ne jamais l’avoir appris, que ces violentes campagnes, menées par la justice des hommes, répondaient à des critères strictement misogynes, alors que 80% des condamné.e.s et 85% des accusé.e.s étaient des femmes. Cela porte un nom, aujourd’hui sur toutes les lèvres : féminicides.

Sorcières ! Par ces bûchers aux flammes hautes, le message transmis était clair : qui ose défier les hommes, mourra de la pire des manières. Ces bûchers sont la honte des siècles qui les ont vu brûler, ils sont la honte de la glorieuse Renaissance européenne dont on célèbre cette année avec panache le 500ème anniversaire. Ils ont marqué plus qu’on ne le pense la trajectoire de la lutte des femmes. Par la terreur qu’ils ont suscitée, d’abord. La mise en scène des supplices était publique et effrayante. Qui peut imaginer le traumatisme individuel, social et culturel, qu’ont pu constituer ces scènes de tortures physiques et mentales ? Cette menace qui planait sur toute femme aspirant à s’extraire de la norme imposée.

Sorcières ! Aujourd’hui encore, à travers le monde, dans des régions d’Inde, d’Afrique, dans les Antilles ou en Océanie, les chasses aux sorcières sèment la terreur chez les femmes. Les simulacres de procès conduisent à des parcages dans des camps sans eau ni électricité, à des tortures et des assassinats ou des lynchages publics d’une brutalité sans pareille. Les femmes vivent dans l’angoisse de se voir désignées responsables d’un accident, d’une maladie, d’une sécheresse, des difficultés d’un couple à avoir un enfant ou d’un mauvais rêve…

Sorcières ! D’hier à aujourd’hui, parmi ces femmes, celles qui ne se soumettent pas au contrôle des hommes sont en surnombre. Les célibataires, les veuves, celles qui accusent leur violeur ou même refusent simplement des avances, les femmes libres, sans attaches, sans enfants, sans maris, les femmes âgées dont le corps ne sert plus ni au plaisir masculin ni à la procréation, et dont les années accumulées évoquent savoir et indépendance… En Europe, les femmes qui maîtrisaient l’art de soigner étaient pourchassées. Guérisseuses, sages-femmes, avorteuses, elles savaient utiliser les plantes médicinales, et dispenser une médecine aux gens du peuple dont elles faisaient majoritairement partie. Et pendant qu’elles devaient répondre de cette science devant des juges, les hommes s’accaparaient la médecine qui devenait leur noble propriété intellectuelle. En Inde aujourd’hui, une femme sans présence masculine à ses côtés, propriétaire de terres, est une suspecte potentielle. Si elle est déclarée sorcière, elle pourra être dépouillée et massacrée ainsi que ses enfants.

Sorcières ! La société patriarcale se nourrit des cendres de ces femmes et ces filles. En Europe, il aura fallu des siècles aux femmes pour se relever. Mais après la terreur, c’est une incroyable force qui aujourd’hui ressurgit de ces cendres, portée par toutes celles, autrices, chercheuses, artistes, militantes, femmes agissantes et engagées, qui, au siècle dernier et aujourd’hui, ont commencé à faire reculer la peur et à ouvrir les premiers barreaux de nos cages.

Nous, femmes, disons combien nous sommes les héritières, filles et soeurs de celles injustement appelées sorcières. Nous reconnaissons en elles les actrices parfois involontaires d’une des luttes les plus longues et difficiles de l’humanité : celle pour l’égalité et le droit des femmes. Combien de mortes, de mutilées, de combattantes dans les rangs de ce combat sans merci ? Il transcende tout : les siècles, les continents, les couleurs de peau, les religions, les statuts sociaux… tout.

Nous nous déclarons filles spirituelles des sorcières, libres et savantes. Nous nous déclarons soeurs de toutes celles qui aujourd’hui encore, parce qu’elles sont femmes, risquent la violence et la mort. Sorcières d’hier, sorcières d’aujourd’hui. Sorcières de tous les pays. Sorcières femmes – et hommes qui nous soutenez, disons haut et fort notre solidarité et notre sororité.

Et alors que la question des savoirs et de la sagesse enseignés de la nature s’impose à nous de la pire des manières, par l’urgence à agir, affirmons le ici : que se lèvent celles et ceux qui se battent pour la Terre, que vivent et prospèrent les sorcières !

Déjà signées ce 5/11/19 par 750 femmes de France, Belgique, Argentine, Etats-Unis, Canada, Suisse, Espagne, Inde, Suède, Pays-Bas, Liban, République Démocratique du Congo, Australie, Mali… Publiée dans le JDD le dimanche 3 novembre 2019, et sur le site du Soir en Belgique.

Tribune proposée par Coralie Miller, Autrice-Metteuse en Scène, France, & Sandrine Rousseau, Enseignante-Chercheuse, Présidente de l’Association Parler, France.

 

Actualité Violences faites aux femmes

Féminicide et Convention d’Istanbul : il est urgent d’agir !

Un vingtième féminicide en Belgique en 2019.

Comment agir ? en étant notamment plus à l’écoute des femmes qui sont victimes d’agressions physiques et verbales, en prennant le temps de les écouter, de les protéger et en mettant en place des structures d’accueil pour leur permettre de s’en aller avec leurs enfants…
Quand la Belgique se donnera-t-elle pleinement les moyens d’action pour mettre en pratique la Convention d’Istanbul qu’elle a signée ?

https://www.rtbf.be/info/dossier/les-grenades/detail_convention-d-istanbul-et-violences-faites-aux-femmes-la-belgique-mauvais-eleve-irene-kaufer?id=10357947&utm_source=rtbfinfo&utm_campaign=social_share&utm_medium=fb_share&fbclid=IwAR268a28LNm7cqNtPI-S8JjLtnkjZw2cDIUck8ufug-4MypG39FO9_L29iA

#féminicide #protectiondesfemmes 

#violencesfaitesauxfemmes

 

Actualité Violences faites aux femmes

« Cinglée » un spectacle sur les féminicides à voir à Bruxelles

Un spectacle interpellant qui derrière une sorte de « phobie » de rechercher les infos sur les meurtres traite de thématiques d’actualité telles que le féminicide, les violences, les médias…
A voir au Rideau de Bruxelles, dès aujourd’hui.

CÉLINE DELBECQ / LA BÊTE NOIRE
SURTITRÉ EN NÉERLANDAIS

Depuis que Marta Mendes est tombée sur un article relatant le « premier » meurtre d’une femme de l’année 2017 en Belgique, elle passe ses journées à dépouiller les journaux en quête fébrile de ceux qui suivront.

Devant la liste qui s’allonge irrémédiablement et dont elle tient le registre jour après jour, devant les boîtes d’archives qui s’empilent, Marta ne voit d’autre choix que d’écrire au Roi Philippe de Belgique qui, elle en est sûre, saura mettre un terme à cette situation qui la rend malade. « Quand on lit un article, c’est un fait divers. Mais quand on regarde les caisses, c’est un génocide. » Cette pièce trace le parcours de combattant d’une résistante gagnée par la folie d’un monde qui refuse de voir, de reconnaître et d’agir. Son combat, et vraisemblablement celui de Céline Delbecq à ses côtés, est aussi celui du vocabulaire, des mots utilisés par les médias pour parler de ces féminicides dont on ne dit pas le nom.
Comment comprendre le silence qui entoure les faits glaçants dont nous sommes les témoins ? Qu’est-ce qui nous définit en tant que sujets humains devant le crime ? Notre capacité à nous “mettre à la place de l’autre” peut-elle être le levier de toute humaine révolte ?

Écriture et mise en scène : Céline Delbecq
Avec : Yves Bouguet, Stéphane Pirard, Anne Sylvain, Charlotte Villalonga
Musique : Pierre Kissling
Scénographie : Thibaut de Coster et Charly Kleinermann
Création lumière : Julie Petit-Etienne
Régie générale : Aude Ottevanger
Assistanat : Delphine Peraya
Regard dramaturgique : Silvia Berutti-Ronelt
Travail vocal : Sylvie Storme
Traduction : Griet Rigole
Régie lumière : Gauthier Minne
Habillage : Nina Juncker
Accompagnement et Diffusion BLOOM Project/Claire Alex

Éditions Lansman, 2019

Production Rideau de Bruxelles, Compagnie de la Bête Noire, Théâtre des Ilets/CDN de Montluçon FR, Atelier Théâtre Jean Vilar/LLN, Centre culturel de Dinant, Maison de la Culture de Tournai/maison de création, La Coop asbl.
Soutiens Shelterprod, Taxshelter.be, ING, Tax-Shelter du gouvernement fédéral belge, Wallonie-Bruxelles International.
Aides Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Service du Théâtre – CAPT.
Et les partenaires Théâtre 140, Centre culturel Jacques Franck, Centre culturel de Mouscron, Centre culturel de Gembloux, Festival Paroles d’Hommes, La Vénerie, Arrêt 59 Foyer culturel de Peruwelz, Centre culturel de Comines-Warneton, Centre culturel de Huy, Chartreuse Cnes de Villeneuve-Lez-Avignon, Wallonie-Bruxelles Théâtre-Danse, Le comité mixte/Fédération Wallonie-Bruxelles, Service de la Promotion des Lettres du Ministère de la Communauté française de Belgique, Amnesty International, Vie Féminine.

Actualité Communiqué officiel Harcèlement Violences faites aux femmes

Les discriminations de genre à nouveau en hausse en 2018 – IEFH

 

Les discriminations de genre à nouveau en hausse en 2018

27 février 2019, Bruxelles – Deux fois plus de signalements en cinq ans, une augmentation marquante en 2017 qui se poursuit en 2018. L’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes reçoit chaque année plus de signalements pour dénoncer des discriminations fondées sur le genre. Qu’elles soient à l’égard des femmes, des hommes ou des personnes transgenres, les discriminations de genre restent un problème majeur. À l’approche de la journée internationale des femmes, l’Institut diffuse ces chiffres 2018.

« Fonder une famille tout en travaillant, recevoir le même salaire que son collègue, être embauché·e pour ses compétences, faire le sport de son choix, être traité·e avec respect… Cela sonne comme une évidence, pourtant, nous sommes encore loin d’une société où chacune et chacun vit librement quel que soit son genre. Mais, le sexisme, les stéréotypes de genre, les discriminations en raison d’être une femme, un homme, ni l’un ni l’autre ou les deux, sont de moins en moins tolérées. » observe Michel Pasteel, directeur de l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes.

11% de signalements en plus par rapport à 2017

Chaque année, le nombre de signalements pour discrimination adressés à l’Institut augmente. En 2018, l’Institut a reçu 818 signalements, dont 355 demandes d’informations, 258 plaintes et 205 communications. En cinq ans, le nombre de signalements a plus que doublé, avec une hausse importante en 2017 qui se poursuit en 2018 (+11%). Les discriminations les plus rapportées sont la discrimination directe, celle en raison du sexe et celle en raison de la maternité. Les femmes en sont les principales victimes. La moitié des signalements sont émis par des femmes, près de 30% par des hommes.

L’emploi reste le domaine où les discriminations sont les plus fréquentes, il représente 45% des signalements. Dans ce domaine, près de neuf signalements sur dix portent sur une discrimination directe. Les femmes sont discriminées à chaque étape de la relation de travail (recrutement, conditions d’emploi, licenciement), et particulièrement en raison de la grossesse et de la maternité, même futures. 90% des signalements pour discrimination sur base de la grossesse ou de la maternité sont liés au travail.
Les signalements pour incitation à la discrimination ont triplé par rapport à 2017. Ils dénoncent essentiellement des propos haineux et sexistes prononcés en rue, sur internet ou dans les médias. Un signalement sur cinq dénonce un cas de sexisme.
Les signalements liés à la thématique transgenre ont fortement augmenté en 2018, +63% par rapport à 2017. Cette hausse s’explique, en partie par l’entrée en vigueur de la loi sur la modification de l’enregistrement de sexe et les problèmes administratifs qui ont suivi. De nombreuses personnes ont également contacté l’Institut au sujet de la nouvelle loi (76%). Les deux autres domaines les plus importants liés à la discrimination des personnes transgenres sont l’emploi (28%) et les biens et services (28%). Conclure une assurance reste encore souvent problématique pour les personnes transgenres, cela représente près de 30% des signalements dans les biens et services.

« L’égalité des sexes est un droit fondamental, mais aussi un fondement nécessaire à la construction d’une société durable. Comme en attestent les signalements, nous n’y sommes pas. Chaque année, l’Institut est amené à traiter davantage de dossiers. Les défis à relever sont de taille et doivent retenir l’attention du prochain gouvernement. »souligne Michel Pasteel, directeur de l’Institut.

Pourquoi contacter l’Institut ?
L’Institut reçoit et enregistre des plaintes pour discrimination fondée sur le sexe ou le genre et peut informer toute personne qui le souhaite à propos du cadre légal en la matière, via le 0800/12 800 ou via le formulaire de contact sur le site igvm-iefh.belgium.be. L’Institut peut en outre conseiller les victimes, entamer une médiation en leur nom et même aller en justice.

NB : la factsheet reprenant les chiffres principaux est disponible sur le site de l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes : www.igvm-iefh.belgium.be

 

Actualité Violences faites aux femmes

« La prostitution tue. Il est temps de comprendre pourquoi ».

Un texte initié par Isala asbl et co-signé, entre autre, par Synergie Wallonie

http://plus.lesoir.be/162606/article/2018-06-14/la-prostitution-tue-il-est-temps-de-comprendre-pourquoi

PLUS.LESOIR.BE
Plusieurs collectifs et associations s’inquiètent des nombreuses agressions, parfois mortelles, dont sont victimes les prostituées en Belgique. Elles réclament l’abolition d’un système qui permet le continuum des violences masculines, ainsi que la mise en place d’une politique ambitieuse…
Actualité Violences faites aux femmes

Enquête : « Violences envers les femmes, comment en finir ? »

CONSULTATION CITOYENNE

Une enquête et un colloque pour un processus participatif.

Une question et quelques détails : 1 minute seulement !

 

Formulaire             Document de présentation de l’enquête

 

Dès aujourd’hui, et jusqu’au 15 septembre, Synergie Wallonie pour l’égalité entre les femmes et les hommes lance une consultation citoyenne sur la question de la lutte contre les violences envers les femmes. Les résultats seront utilisés comme thèmes à exploiter lors d’une concertation citoyenne les 15 et 16 décembre, à l’Assemblée des Femmes et des Associations à Namur.
Ce processus aboutira à des propositions concrètes et des recommandations à l’usage de nos dirigeants et des associations de terrain. Le projet est réalisé en partenariat avec l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes, la La Province de Namur, la Ville de Namur (Page officielle), le Collectif contre les Violences familiales, La Voix Des Femmes Asbl, Le Monde selon les femmes asbl et l’ Acrf Femmes Milieu Rural.

Nous souhaitons vous donner la parole et vous laisser, en tant que citoyen.ne.s et actrices/acteurs de terrain, décider vous-même de la thématique prioritaire à travailler afin que vous puissiez vous approprier entièrement le débat. Hors des sentiers battus, où les citoyen.ne.s identifient-ils les problèmes qu’il faut traiter en priorité? Et dans le milieu professionnel, qu’en pensent les intervenant.e.s? C’est l’idée de cette enquête, qui ne contient qu’une seule et unique question, afin de limiter au maximum les orientations prédéterminées dans l’approche :
« QuelLE problème/question souhaitez-vous prioriser dans la lutte contre les violences envers les femmes ? »

 

 

Merci de partager autour de vous et pas uniquement dans le milieu associatif féministe, afin de recueillir un maximum de points de vue !!